La vérité vraie

Je veux construire une nouvelle relation avec les Français, faite de vérité, de respect de la parole donnée, de confiance. Je veux un nouvel Etat, une nouvelle nation, une nouvelle République. Je veux de l'honnêteté, de l'authenticité, de la vérité dans la vie politique française. Je veux d’une France qui parle toujours à l’Amérique comme une amie, qui lui dit toujours la vérité et qui sait lui dire non quand elle a tort, qui lui dit qu’elle n’a pas raison quand elle viole le droit des nations ou le droit des gens qu’elle a tant contribué à forger, quand elle décide unilatéralement, quand elle veut américaniser le monde alors qu’elle a toujours défendu la liberté des peuples. Je veux de l'honnêteté, de l'authenticité, de la vérité dans la vie politique française. Etre candidat à la fonction présidentielle impose à celui qui prétend vouloir l’exercer une obligation de dignité, d’honnêteté, de sincérité, de vérité. Je veux être un Président qui donne au Parlement des moyens de contrôle supplémentaires parce qu'en vérité, il ne peut y avoir de pouvoirs républicains sans un équilibre des pouvoirs.

C’est Condorcet poursuivi par les agents de la Terreur qui veulent l’assassiner et qui trouve encore en lui la force d’écrire : « La contemplation de l’espèce humaine marchant dans la route de la vérité, de la vertu et du bonheur est un asile pour le philosophe où le souvenir de ses persécuteurs ne peut le poursuivre ».

Mais l’économie est cyclique et la vérité d’hier n’est pas toujours celle du lendemain
Oui, je le répète, pour nous à l’UMP, la vérité, c’est qu’il existe des régimes spéciaux de retraite qui ne correspondent pas à des métiers pénibles et qu’il existe des métiers pénibles qui ne correspondent pas aux régimes spéciaux de retraite. Mais tous nous ont transmis un savoir ou une règle de vie, un héritage de l’esprit ou une vérité du cœur. Respectueux aussi des Français qui méritent de vrais débats, qui méritent qu’on s’adresse à eux comme à des citoyens, qu’on s’adresse à leur intelligence et à leur cœur, non qu’on les prenne à témoins de misérables querelles de personnes, non qu’on les réduise au rôle de spectateurs de coups tordus et de basses manœuvres, qui méritent qu’on leur dise la vérité, non qu’on les abreuve de mensonges.

C’est Condorcet poursuivi par les agents de la Terreur qui veulent l’assassiner et qui trouve encore en lui la force d’écrire : « La contemplation de l’espèce humaine marchant dans la route de la vérité, de la vertu et du bonheur est un asile pour le philosophe où le souvenir de ses persécuteurs ne peut le poursuivre ».

Je vous propose une école qui développe l’esprit critique et l’esprit de vérité. Une école qui sait en vérité, que c’est en assumant ses missions fondamentales, qu’elle remplira beaucoup de ses missions complémentaires. A condition que nous ayons le courage de tenir à la jeunesse le langage de la vérité. Je veux créer une nouvelle relation avec les Français faite de respect de la parole donnée, de vérité, d'authenticité, d'honnêteté. La vérité, c'est que la mondialisation exige un Etat fort, une cohésion sociale et territoriale forte, une identité collective forte. Il faut dire la vérité aux Français : sauf à fermer les frontières et à se condamner au déclin, il n’y a aucun moyen d’interdire les délocalisations. Mais la vérité, c'est que beaucoup de Français voient dans l'immigration une menace pour leur sécurité, leur emploi, leur mode de vie, pour la préservation des valeurs auxquelles ils sont attachés, pour l'unité et la cohésion nationales.

C’est Condorcet poursuivi par les agents de la Terreur qui veulent l’assassiner et qui trouve encore en lui la force d’écrire : « La contemplation de l’espèce humaine marchant dans la route de la vérité, de la vertu et du bonheur est un asile pour le philosophe où le souvenir de ses persécuteurs ne peut le poursuivre ».

J'ai changé parce que l'élection présidentielle est une épreuve de vérité à laquelle nul ne peut se soustraire. Parce que cette vérité je vous la dois. Parce que cette vérité je la dois aux Français. J'ai changé parce que les épreuves de la vie m'ont changé. Je veux le dire avec pudeur mais je veux le dire parce que c’est la vérité et parce qu’on ne peut pas comprendre la peine de l’autre si on ne l’a pas éprouvée soi-même. Cette émotion qui me submerge au moment où je vous parle, je vous demande de la recevoir simplement comme un témoignage de ma sincérité, de ma vérité, de mon amitié. J'ai depuis compris qu'est fort celui qui apparaît dans sa vérité.
Je prendrai le risque de la vérité parce qu'on le doit à la France.
Aujourd’hui, la vérité perce sous l’imposture.

La vérité vraie
Par Victor-Jorge :	"http://expecriture.123.fr" "http://h.a.k.free.fr" "http://obscurantine.blogg.org"
Ce texte est composé de diverses phrases extraites de dix discours de Nicolas Sarkozy. Toutes ont en commun l’emploi du terme « vérité » et toutes ont été recopiées intégralement. Certaines sont répétées mot pour mot simplement parce que le candidat les a utilisées plusieurs fois en différents lieux. Respecter le nombre de « récidives » du candidat permet de rendre tangible l’« effet de martèlement » escompté. La seule liberté dans la composition de ce texte est celle de la modification de l’ordre des phrases.
Liste des dix discours prononcés par Nicolas Sarkozy :
	Discours à Périgueux (12 Octobre 2006) une occurrence Convention sur l'agriculture et le monde rural (18 Octobre 2006) une occurrence Discours à Saint-Etienne (09 Novembre 2006) quatre occurrences Discours à Angers (01 Décembre 2006) quatre occurrences Conférence de presse sur l'immigration (11 Décembre 2006) une occurrence Congrès de l'UMP (14 Janvier 2007) sept occurrences Discours à Saint-Quentin (25 Janvier 2007) deux occurrences Discours au Futuroscope à Poitiers (26 Janvier 2007) quatre occurrences Discours à Maisons-Alfort (02 Février 2007) une occurrence Réunion des Comités de soutiens locaux à la Mutualité (11 Février 2007) trois occurrences.
Sources : "http://www.up.univ-mrs.fr" , site réalisé par Jean Véronis, professeur de linguistique et informatique à l’Université de Provence.
	Je veux construire une nouvelle relation avec les Français, faite de vérité, de respect de la parole donnée, de confiance. Je veux un nouvel Etat, une nouvelle nation, une nouvelle République. Je veux de l'honnêteté, de l'authenticité, de la vérité dans la vie politique française. Je veux d’une France qui parle toujours à l’Amérique comme une amie, qui lui dit toujours la vérité et qui sait lui dire non quand elle a tort, qui lui dit qu’elle n’a pas raison quand elle viole le droit des nations ou le droit des gens qu’elle a tant contribué à forger, quand elle décide unilatéralement, quand elle veut américaniser le monde alors qu’elle a toujours défendu la liberté des peuples. Je veux de l'honnêteté, de l'authenticité, de la vérité dans la vie politique française. Etre candidat à la fonction présidentielle impose à celui qui prétend vouloir l’exercer une obligation de dignité, d’honnêteté, de sincérité, de vérité. Je veux être un Président qui donne au Parlement des moyens de contrôle supplémentaires parce qu'en vérité, il ne peut y avoir de pouvoirs républicains sans un équilibre des pouvoirs. C’est Condorcet poursuivi par les agents de la Terreur qui veulent l’assassiner et qui trouve encore en lui la force d’écrire : « La contemplation de l’espèce humaine marchant dans la route de la vérité, de la vertu et du bonheur est un asile pour le philosophe où le souvenir de ses persécuteurs ne peut le poursuivre ». Mais l’économie est cyclique et la vérité d’hier n’est pas toujours celle du lendemain Oui, je le répète, pour nous à l’UMP, la vérité, c’est qu’il existe des régimes spéciaux de retraite qui ne correspondent pas à des métiers pénibles et qu’il existe des métiers pénibles qui ne correspondent pas aux régimes spéciaux de retraite. Mais tous nous ont transmis un savoir ou une règle de vie, un héritage de l’esprit ou une vérité du cœur. Respectueux aussi des Français qui méritent de vrais débats, qui méritent qu’on s’adresse à eux comme à des citoyens, qu’on s’adresse à leur intelligence et à leur cœur, non qu’on les prenne à témoins de misérables querelles de personnes, non qu’on les réduise au rôle de spectateurs de coups tordus et de basses manœuvres, qui méritent qu’on leur dise la vérité, non qu’on les abreuve de mensonges. C’est Condorcet poursuivi par les agents de la Terreur qui veulent l’assassiner et qui trouve encore en lui la force d’écrire : « La contemplation de l’espèce humaine marchant dans la route de la vérité, de la vertu et du bonheur est un asile pour le philosophe où le souvenir de ses persécuteurs ne peut le poursuivre ». Je vous propose une école qui développe l’esprit critique et l’esprit de vérité. Une école qui sait en vérité, que c’est en assumant ses missions fondamentales, qu’elle remplira beaucoup de ses missions complémentaires. A condition que nous ayons le courage de tenir à la jeunesse le langage de la vérité. Je veux créer une nouvelle relation avec les Français faite de respect de la parole donnée, de vérité, d'authenticité, d'honnêteté. La vérité, c'est que la mondialisation exige un Etat fort, une cohésion sociale et territoriale forte, une identité collective forte. Il faut dire la vérité aux Français : sauf à fermer les frontières et à se condamner au déclin, il n’y a aucun moyen d’interdire les délocalisations. Mais la vérité, c'est que beaucoup de Français voient dans l'immigration une menace pour leur sécurité, leur emploi, leur mode de vie, pour la préservation des valeurs auxquelles ils sont attachés, pour l'unité et la cohésion nationales. C’est Condorcet poursuivi par les agents de la Terreur qui veulent l’assassiner et qui trouve encore en lui la force d’écrire : « La contemplation de l’espèce humaine marchant dans la route de la vérité, de la vertu et du bonheur est un asile pour le philosophe où le souvenir de ses persécuteurs ne peut le poursuivre ». J'ai changé parce que l'élection présidentielle est une épreuve de vérité à laquelle nul ne peut se soustraire. Parce que cette vérité je vous la dois. Parce que cette vérité je la dois aux Français. J'ai changé parce que les épreuves de la vie m'ont changé. Je veux le dire avec pudeur mais je veux le dire parce que c’est la vérité et parce qu’on ne peut pas comprendre la peine de l’autre si on ne l’a pas éprouvée soi-même. Cette émotion qui me submerge au moment où je vous parle, je vous demande de la recevoir simplement comme un témoignage de ma sincérité, de ma vérité, de mon amitié. J'ai depuis compris qu'est fort celui qui apparaît dans sa vérité. Je prendrai le risque de la vérité parce qu'on le doit à la France. Aujourd’hui, la vérité perce sous l’imposture.